Apparu dans les années 90 dans les pages du quotidien japonais Nihon Keizai Shimbum en opposition au terme faisant référence à la famille traditionnelle (Kazoku) ; ce néologisme a permis d’interroger dans une série d’articles le décalage entre la réalité du quotidien des japonais urbains (érosion du lien familial, éclatement des parcours de vie et des modalités du vivre ensemble…) et une société basée sur le mythe de la famille traditionnelle.

L’association Kozoku est née en France d’un constat similaire : le décalage entre une ville d’abord pensée pour les familles traditionnelles, les étudiants, les jeunes actifs, et le besoin croissant de solutions de logement et d’accompagnement pour les familles monoparentales.

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